Les bandes dessinées furent, pour les enfants de mon époque, un refuge. Une échappatoire qui nous permettait de nous évader dans des mondes où tout était clair. Les bons d'un coté et les méchants de l'autre. Nous fumes des millions à dévorer les aventures de nos héros préférés. Qu'elles soient histoires des invincibles "Cow Boys" du Far West ou adaptations de dessins animés de la "Sagédition", elles nous ouvraient des espaces imaginaires où nos esprits tourmentés se réfugiaient en oubliant une réalité bruyante et bien agitée, qui laissait rarement place à l'innocence dont nous manquions tant.
Les années 80 mirent un terme à ces publications.
A l'heure actuelle où le numérique étouffe l'imagination, il est bien difficile de comprendre que la nostalgie c'est aussi cela. Quelques traits de crayons, et les images fixes des périodiques illustrés permettaient de construire un univers aussi bien que toutes les super productions cinématographiques en "3D" d'aujourd'hui.
Les années 80 mirent un terme à ces publications.
A l'heure actuelle où le numérique étouffe l'imagination, il est bien difficile de comprendre que la nostalgie c'est aussi cela. Quelques traits de crayons, et les images fixes des périodiques illustrés permettaient de construire un univers aussi bien que toutes les super productions cinématographiques en "3D" d'aujourd'hui.
